Nom : Noirbois
Prénom : Joseph
Ville : Bois-du-Bûcher (Forêt des pins argentés)
CHAPITRE I : (Pas de titres, pas encore...)C'est par un samedi chaud d'été que Joseph s'éveilla. C'était un jeune garçon de quinze ans environ, de taille moyenne, et plutôt intelligent.
Il vivait avec ses parents et sa petite soeur, de riches paysans, dans
une grande maison située dans le Bois-du-Bûcher. Il y vivait bien.
Il descendit au salon pour saluer sa mère qui lui préparait son
déjeuner. Tandis que son père, lui était déjà partit travailler dans
les champs. La journée commençait bien, une fois qu'il eût fini de
déjeuner, il sortit prendre l'air et s'aventura seul hors du village,
au bord de la mer, pour réfléchir, comme il le faisait souvent.
Il adorait la mer, c'était sa "meilleure amie", étant donné que c'était la seule.
Il resta assis sur la rive pendant plusieurs heures. Ca lui plaisait
bien. Tout d'un coup une pierre vola et vint se frapper dans le dos. On entendit des rires gras émit par une bande d'imbéciles dont le chef était un certain Caius, une espèce de colosse, bête comme ces pieds, voir pire.
"Espèce d'andouille !" hurla Joseph en toisant Caius.
Le géant s'approcha de lui, et le jeta à l'eau. En tombant dans l'eau
froide, la poche de Joseph laissa s'échapper une bourse, remplie de
pièces d'argent qu'il comptait utiliser pour s'acheter un tome traitant de la magie et ou de l'occulte. Caius saisit alors la bourse et la fourra dans sa poche.
"Rend la moi !" dit Joseph en sortant péniblement de l'eau. Aucune
réponse, le colosse se contenta de faire volt-face et s'éloigna.
"Obtempère !" lui cria Joseph.
Alors Caius se retourna et dit en s'approchant à grand pas de Joseph :
"Personne ne parle comme ça de mon père !"
"Pauvre imbécile !" Rétorqua Joseph. "Obtempère signifie..."
Il n'eut pas le temps de finir sa phrase, le géant le gifla et le poussa à l'eau une nouvelle fois.
Furieux il rentra au village ou on se moqua de lui car il était couvert
d'algues et sentait fort. La journée avait été finalement désastreuse.
Il poussa porte de sa maison et la claque violemment. Il monta dans sa chambre pour y pleurer, mais sur son lit se trouvait un ouvrage qu'il désirait ardemment et qu'il comptait s'acheter :"
La magie des arcanes par Nalahel Dagegis". Il remercia son père dès qu'il rentra.
Cette journée n'était pas si mal finalement...
CHAPITRE II : Le calme avant la tempête.Musique D'ambiance (Merci Chester) :
Musique (Merci encore.)
Dans la nuit de Samedi à Dimanche une violente tempête dévasta les champs, emporta plusieurs maisons, détruit plusieurs chariots, et tua beaucoup de monde. Dont des marchands ambulants qui n'avait pour refuge que de fragiles tentes. Joseph s'éveilla tôt pour un dimanche. Ses parents étaient partis s'occuper des champs, il était seul, avec sa petite soeur. Il ne désira pas l'éveiller. Il prit une tranche de pain, la beurra et quitta la maison pour s'asseoir en face de la mer.
La tempête avait jonché la rive de morceaux de bois, de poissons morts et autres saletés. Il s'assit sur une pierre, le désordre ne le
dérangeait pas le moins du monde. Les vagues étaient plus fortes ce
matin là... Il aimait que l'eau vienne heurter ses pieds. Une vague,
plus grosse que les autres commençait à se former 30 mètres plus loin.
Il ferma les yeux afin de ne sentir plus que le toucher de l'eau. La
vague fouetta sa pieds et Joseph hurla :
"Aïe !" Puis il lâcha sa tartine dans l'eau et cria "Merde !". La vague
était beaucoup plus "dure" que les autres. Il sortit ses pieds de
l'eau, son pied droit saignait. Il ne comprenait pas. Alors il plongea
ses mains dans l'eau et en sortit un coffre.
"Quelle chance" pensa t-il. Il tenta de l'ouvrir maintes fois mais, ne
parvenant pas à ces fins, il le lança contre une pierre proche. Le
coffre s'ouvrit et un journal ainsi qu'une petite pierre noire de forme
ronde et un couteau en sortirent. Fasciné, il remit ses biens dans le coffre et le cacha sous sa veste, afin que cet abrutit de Caius et sa bande ne puisse le lui voler. En rentrant chez lui, il sauta sur son lit et ouvrit le coffre. Il contempla le couteau, il était léger et semblait coupant. Il le cacha dans une sa commode. Il pris alors la pierre noire de forme ronde. A peine il l'eut effleuré qu'il ressentit dans son corps un violent choc et plusieurs image lui vinrent à l'esprit, tout cela se déroula très rapidement.
Il vit d'abord un désert puis un temple, il vit les plages de Sombrivages, sa vue quitta Somrivage, quitta Kalimdor, quitta Azeroth et se posa sur le continent glacial du Norfendre, puis sur une cave humide gardée par d'étranges créatures mi hommes, mi araignées. Il voulait quitter cette vision d'horreur mais n'y parvenait pas !
Il continuait à avancer dans la cave, et au bout il aperçut l'entrée
d'une cité à l'architecture inconnue et très étrange. Puis ce ne fût
plus qu'une successions de flash. Jusqu'à ce que sa soeur entre dans sa chambre, il se réveilla alors brutalement et rangea aussi la pierre dans la commode.
"Qu'est-ce que tu fait ?" Lui demande cette dernière.
"Rien." Répondis Joseph.
"Tu viens jouer ?" dit-elle alors.
"J'arrive, attend moi en bas." Rétorqua t-il.
Elle sortit alors de la chambre. Joseph regarda le coffre qui contenait encore le livre. Il le prit et lu le titre :
"
Occultisme et arts nécromantiques par Roka Noirbois".
"Roka Noirbois ?! Mon grand père !" Il avait le vague souvenir de ce
grand-père, un homme froid, distant et assez sévère. Celui-ci était
mort pendu, on l'avait accusé de pratique de la magie noire et
sacrifices humains. Son père n'avait versé
aucune larmes à la mort du grand-père.
"Tu viens ?" Fît une voix au salon.
"Oui oui !" Répondis Joseph.
Il rangea le livre dans la commode et descendit...
A suivre...
Par Bøøty/Roka.